L’envie d’être là !

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Dans les allées du congrès, dès 8h00, congressistes, bénévoles et membres de la direction fédérale se croisent. Retrouvailles, sourires, pas de doute, chacun est content d’être là ce lundi matin.

« C’est mon premier congrès », confie Clémence d’Ile de France, 30 ans, « je suis syndiquée depuis 2011, je suis impatiente de voir comment cela se passe ».

Cap à l’est, Morgane de Savoie et Jean-Louis de Haute-Savoie, tous deux salariés de la CCAS, vivent également leur premier congrès fédéral. « Nous avons hâte, nous sommes curieux et enthousiastes à la fois », expliquent-ils de concert. Côté préparation, pas eu beaucoup de temps pour échanger avec les syndiqués… « entre les mouvements revendicatifs, les piquets de grève, nous avons tous été très occupés depuis janvier », s’excuse Jean-Louis. Peu importe, cette semaine s’annonce riche !

Plus au sud, venus de Tricastin et arrivés dimanche soir « trop tard pour profiter de Nantes », Maxime et Franck se disent sereins, même s’ils attendent « une position claire et ferme de la fédération sur la question de l’avenir du nucléaire ».

Pour Pascal Paul, bénévole à l’accueil des délégués, ce matin, il y a un bon état d’esprit : « les délégués sont pressés de commencer les débats, on les sent très motivés ».

Des attentes, de l’impatience voire de l’enthousiasme… En cette première matinée du 6e congrès, une chose est commune à tous sur la cité des congrès de Nantes : la joie d’être là, l’envie d’échanger, de s’enrichir et de construire demain.

Isabelle Masson